Aujourd’hui encore, à peine plus d’un malade sur deux a accès aux traitements antirétroviraux.
Les progrès sont là mais ils ne sont pas suffisants si l’on veut espérer que les prochaines générations puissent connaître un monde sans sida. Le 10 octobre, les chefs d’Etat des principaux pays donateurs annonceront leur contribution au Fonds mondial Sida, tuberculose et paludisme pour les trois prochaines années. La mobilisation de tous doit être un succès. 16 millions de vies sont en jeu.